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5 déclarations historiques de Samuel Eto’o

Après la sortie de Samuel Eto’o à propos de sa campagne de lutte contre le Boko Haram, il a eu a tenir des propos qui ne sont pas passés inaperçus. Des propos froids et justes, sans fards ni ambages.

Il disait alors aux confrères de Jeuneafrique que :


« Nous ne pouvons pas tous aller au combat, mais chacun peut apporter son aide, notamment au niveau de l’éducation des populations, qui reste l’arme la plus redoutable. Il faut comprendre que l’ignorance est notre principal ennemi. ».

Cette action n’est pas la première du genre de l’international camerounais, qui a lancé depuis plusieurs années une fondation qui porte bien son nom et qui contribue à l’émergence des jeunes talents africains. Son influence a aidé à récolter 100 000 livres sterling pour aider les populations du Nord de son pays en proie aux exactions de la secte islamiste. Ces déclarations nous ont fait penser à l’ensemble des propos phares de Samuel Eto’o.

1- « Je n’ai rien à montrer. Je suis Samuel Eto’o. Et je ne crois pas que je doive montrer quoi que ce soit à qui que ce soit. Je devrais plutôt essayer de prendre du plaisir. Ceux qui analysent le football savent que mes performances sont là. Je n’appartiens pas au groupe de joueurs considérés comme bons, mais au groupe des grands joueurs ».

2- « Je n’appartiens pas au groupe de joueurs considérés comme bons, mais au groupe des grands joueurs »

3- « Partout où vous allez, il y a des jeunes qui s’identifient à moi (…). Les gens rêvent d’avoir ma carrière »

4- « Pas seulement pour les joueurs africains. Pour de nombreux jeunes. Eto’o, ce n’est pas que l’Afrique même si je viens de là-bas. Partout où vous allez, il y a des jeunes qui s’identifient à moi, et ce que je veux, c’est que tous ces jeunes qui rêvent de devenir Samuel Eto’o soient respectés partout où ils iront. Les gens rêvent d’avoir ma carrière » ».

5- « Je peux me regarder dans un miroir, je suis fier de moi, de mon chemin. Si c’était à refaire, je recommencerais. Les titres, c’est bien, mais on ne les emporte pas dans la tombe ! J’aurais pu être lisse, faire plaisir à tout le monde, notamment à la presse, mais ce n’est pas mon caractère. J’ai toujours cru en ce que je faisais. Et je n’ai jamais mis un genou à terre ! »

 

Banda Diallo

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