Cameroun: les serveuses des snacks-bars presque nues aux heures de travail

Les bonnes habitudes ont presque disparues dans la mentalité collective de la jeune fille Africaine en général et celle du Cameroun en particulier. Les filles n’ont presque plus de respect pour leur corps. Le corps qui est perçu comme le temple de Dieu, est devenu pour certaines filles un fonds de commerce. Certaines d’entre elles se mettent presque nues pour attirer les hommes.

Si certaines n’ont pas encore eu le courage de se mettre nues, il reste quand même que les tenues qu’elles arborent les présentent presque nues dans les snacks aux heures de travail
Dans de nombreux snacks bar de la métropole économique du Cameroun, des snacks bars à la mode situés aux alentours de l’université de Douala, les serveuses se mettent dans les tenues où elles sont presque nues pendant le service.

Ce phénomène qui a vu le jour dans certains snacks bars du côté des quartiers comme cité sicam, cité sic et Ndogbong, au lieu-dit Carrefour Zacheman, se répand petit à petit dans d’autres quartiers et le respect des mœurs et coutumes à tendance à foutre le camp.

L’on se demande dès lors d’où venons nous et où allons nous? quelle héritage allons nous laisser à nos petites sœurs ou petits frères, et pire encore quelle bonne éducation allons nous donner à nos enfants quand nous même, ne donnons pas le bon exemple.

C’est écœurant ce qui se passe au vu et au su de tous. Plus grave, ces attitudes obscènes ne dérangent personne car, les philosophies ont frisé le modernisme importé de l’occident au détriment de la riche culture africaine. Aujourd’hui l’extrême extravagance dans les styles vestimentaires font qu’on a l’impression d’être en face d’une couche juvénile écervelée ou en quête de repère.

L’État devrait penser à mettre sur pieds une police des mœurs pour sauver encore ce qui est est susceptible d’être sauvé pendant qu’il est encore temps. L’occident a son histoire et l’Afrique a ses réalités. Pourquoi les Blancs ne copient rien de la culture africaine? Tout ce dont ils ont besoin chez nous ce sont nos richesses.