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Des révélations sur la vie du footballeur ivoirien Serge Aurier

Serge Aurier se sent bien dans sa ville d’adoption
Auteur d’un excellent début de saison avec le Paris Saint Germain, Serge Aurier, né à Ouragahio en Côte d’Ivoire, se sent bien dans sa ville d’adoption.
Dans sa parution du week-end dernier, France Football révèle cinq anecdotes sur le défenseur ivoirien. L’hebdomadaire français révèle qu’à ses débuts, les commentateurs de Canal+  confondaient Aurier avec Christopher,  son frère attaquant, plus jeune d’un an. En effet, non seulement ce dernier lui ressemble beaucoup, mais il a également été formé, comme  Aurier, au RC Lens. «Sauf que Serge, cadet d’une fratrie de cinq enfants, s’était déjà fait un prénom et une grosse réputation en Artois. Champion de France des moins de 18 ans et vice-champion des 16 ans, il avait signé professionnel dans ce club alors qu’il n’avait pas dix-sept ans. Une précocité qui accompagne son début de carrière professionnelle et internationale», précise France Football.
Avant d’ajouter que Serge Aurier n’a jamais marqué en Ligue 1 contre le Psg. Ni avec Lens, ni avec Toulouse. Mais selon Djamel Femmami, qui conduisait Serge Aurier aux entraînements et aux matches lors de son unique saison au FC Villepinte (2005-2006), Serge a vu son destin basculer à la suite d’un match exceptionnel dans les catégories de jeunes, face au club parisien. «Nous avions gagné et Serge avait inscrit les quatre buts. A partir de là, tous les recruteurs le pistaient, mais c’est Lens qui a emporté le morceau grâce notamment à Marc Westerloppe (formateur à Lens à l’époque) », a expliqué Djamel au Parisien.

Originaire de Ouragahio en Côte d’Ivoire, le défenseur du Psg a rejoint à douze ans ses parents à Sevran, en Seine Saint-Denis (son père y était employé à la ville) où il a débuté dans le football. Parti adolescent à Lens avant de transiter par Toulouse où le Psg est allé le recruter, Serge Aurier a retrouvé l’été dernier la région parisienne et sa ville d’adoption. «Je suis fier d’avoir grandi ici, évoquait-il récemment dans le Parisien. Quand on évoque Sevran, on ne parle que de violence. Mais il y a aussi des gens comme le rappeur Kaaris qui réussissent et donnent une bonne image de la ville. Habiter Sevran n’est pas un crime !», a-t-il confié.

Au-delà du football, Serge Aurier est amateur de rap et surtout de rap français. L’Ivoirien est proche de certains artistes avec lesquels il dit avoir «de bons rapports », notamment avec Kaaris et Gradur. Rohff et Booba, les deux frères ennemis de la scène française, font ainsi partie de ses playlists. Mais son rappeur préféré, c’est Rohff. «J’ai grandi avec lui» déclarait-il encore récemment. Aurier a des points communs avec Kaaris, alias Okou Gnakouri. Ivoirien, il a grandi à Sevran, comme Aurier.
Dans le football, son meilleur ami, c’est assurément le Bordelais Grégory Sertic. A la base, les deux potes sont franciliens. Une seule saison passée ensemble sous le maillot lensois en L1 (2010-2011) où Sertic avait été prêté par Bordeaux pour s’aguerrir, a fait d’eux des amis pour la vie. Et régulièrement, les deux «frérots» se parlent sur les réseaux sociaux, Twitter en particulier, où ils se montrent particulièrement actifs.


Source: L’inter

Felicia Essan

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