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Brigitte Macron : deux femmes condamnées pour avoir affirmé qu’elle est un homme

D’après les informations relayées par Ouest-France, deux femmes ont été condamnées en diffamation pour avoir propagé des rumeurs transphobes contre Brigitte Macron. En décembre 2021, ces femmes ont affirmé dans une vidéo que la Première Dame de France était un homme.

Dans une vidéo devenue virale en décembre 2021, deux femmes dont les identités n’ont pas été dévoilées, ont affirmé que Brigitte Macron, épouse du président Français, était un homme et non une femme. Aux dernières nouvelles, ces dernières ont été condamnées par le tribunal judiciaire de Lisieux en France, pour avoir propagé de telles rumeurs.

Après avoir fait grand bruit sur les réseaux sociaux, l’affaire « Brigitte Trogneux » a refait surface mais cette fois au tribunal. Durant de longs mois, des rumeurs se sont répandues en ligne pour affirmer que Brigitte Macron, l’épouse d’Emmanuel Macron, serait une femme transgenre du nom de Jean-Michel Trogneux et qu’elle n’aurait pas porté ses trois enfants.

Le 10 décembre 2021, une femme, se présentant comme « journaliste indépendante » accompagnée d’une médium, assurait que le premier mari de Brigitte Macron n’a jamais existé. Elle soutient par la suite que des documents administratifs ont été truqués et qu’en réalité, la première dame, qualifiée d’homme, sous le nom de son frère Jean-Michel Trogneux, aurait été en relation avec une certaine Catherine Auzière, mère biologique des trois enfants de Brigitte Macron.


Or il se trouve que Catherine Auzière existe bel et bien et vit en Normandie. Catherine Auzière et Brigitte Macron s’étaient constituées partie civile à la suite de ces accusations.

Face à ces rumeurs, salissant la réputation de la première dame de la république française, Les deux femmes ont été jugées en janvier par le tribunal judiciaire de Lisieux dans le Calvados. Elles ont été condamnées pour délit de diffamation et complicité de diffamation. Elles ont été condamnées à une amende de 2000 euros chacune, à verser 3000 euros à Catherine Auzière et son époux et 2000 euros pour les frais d’avocat.

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