Afrique

Libye – Vidéo: triste sort pour les migrants africains, ils sont vendus pour des travaux forcés. Explications!

Grâce à une enquête réalisée par l’Organisation Internationale pour les Migrations, on a pu faire la lumière sur le désastre ténébreux qui règne actuellement en Libye. Beaucoup d’immigrés qui y transitaient ont toujours affirmé que c’est un pays hostile à la peau noire, pour ne pas dire la race. Mais les preuves aussi touchantes n’avaient pas été encore aussi exposées.

Ladite organisation révèle que les migrants qui quittent leurs terres natales et transitent par la Libye pour espérer traverser la méditerranée, ont déjà atteint 150 000, qui ont pu traverser la mer ces trois dernières années seulement. Avec l’Italie comme première destination.

Dans le même rapport, on signale que l’année dernière par exemple, 600 d’entre eux sont morts dans la mer. Au moment où près de 7000 la traversaient.

Mais des milliers encore n’arrivent pas à traverser ce pays d’escale qui est la Libye. Sortant des pays comme le Sénégal, le Niger, le Nigeria, la Gambie, la Guinée, ces aventuriers tombent parfois dans les filets des « passeurs ». Parfois ils sont arrêtés de force et on les extorque les sous. Les plus malchanceux sont arrêtés et réduits en prisonniers. N’ayant rien à manger, et ne pouvant même pas avoir des journées humainement dignes.

Ils sont aussi vendus pour les travaux forcés. Entre 200 et 300 dollars. Certains sont rémunérés modiquement. De l’autre côté, les femmes sont réduites à l’exploitation s3xuelle. Elles sont violées et prostituées de force.

Le problème est alarmant, car il tire sa source de très loin. En 2017, ils sont encore des centaines de milliers en Afrique, à croire que le bonheur est outre-mer. La raison ? Ils vivent l’enfer dans leurs pays. Et pourquoi ? les dictateurs qui se servent au lieu de servir le peuple. Les raisons sont aussi multiples, multilatérales. Les pays africains qui n’arrivent pas à s’unir pour régler leurs propres problèmes et qui sont parfois leurs propres problèmes.

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