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Football : La FIFA sanctionne plusieurs nations africaines

La FIFA a condamné plusieurs nations africaines pour des infractions commises lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 le mois dernier.

Selon ‘’BBC’’, le Gabon avait fait jouer contre la Côte d’Ivoire, le 2 Juillet dernier, Merlin Tandjigora, un joueur suspendu par la FIFA.

Ainsi, malgré la défaite (3-0) de l’équipe Gabonaise, l’institution l’a sanctionnée à payer une amende de 5 300 euros (environ 3 millions de FCFA).

Le Nigeria a également été condamné à payer une amende de plus de 30 000 dollars (plus de 16 millions de FCFA) et a été averti après que des fans ont envahi le terrain lorsqu’ils ont battu le Cameroun (4-0), le 1er septembre 2017.

La RDC a été contrainte de payer près de 20 000 dollars (plus de 11 millions de FCFA) comme amende accompagné d’un avertissement pour des incidents lors de leur match contre la Tunisie le 5 septembre 2017.

D’après la Fifa, il y avait eu «une mauvaise conduite chez les spectateurs. En effet, ceux-ci avaient jeté des bouteilles et avaient également mis le feu dans les tribunes.

De plus, la fédération congolaise de football a également été sanctionnée pour avoir omis de mettre en évidence les drapeaux nationaux et un «panneau de publicité central» obligatoire au stade de Kinshasa.

L’équipe nationale du Mali a aussi été sanctionnée par l’instance à hauteur de 15 000 dollars (plus de 8 millions de FCFA) après que les supporters Maliens ont jeté des bouteilles et des chaises sur le terrain lors du match à domicile contre la Maroc.

Quant aux Burkinabès et aux Sénégalais, la FIFA a simplement émis des avertissements à leur encontre pour les retards dans leurs matches.

La Zambie doit payer 7 000 dollars (plus de 3 millions de FCFA) après que leurs fans ont jeté des objets, lors de leur rencontre contre l’Algérie à Lusaka.


La punition du Maroc est de 3 000 dollars (plus d’un millions de FCFA) et un avertissement parce que des spectateurs ont sifflé pendant l’hymne national avant leur match contre le Mali à Rabat.

Emeraude ASSAH

 

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