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Le fils de PPDA et Claire Chazal s’en va très loin de l’exposition médiatique de ses parents

Ne supportant plus la surexposition de ses parents, François, le fils que Patrick Poivre d’Arvor (PPDA) a eu il y a vingt ans avec Claire Chazal, les a quittés comme nous le mentionne le quotidien Voici.
En effet, PPDA n’a pas caché ses émotions en voyant Claire Chazal parler le leur fils François à l’occasion de son passage sur le canapé rouge de Vivement dimanche en novembre dernier.
Claire a affirmé :

« [Patrick] est un père très attentif, Il a toujours été proche de François, mais je pense que, plus un petit garçon grandit, plus il devient un interlocuteur, un compagnon. Tout ce qu’aime faire Patrick, les voyages, les découvertes littéraires, il le partage davantage avec un garçon de 14 ans qu’avec un petit de trois ans. Ce qui est tout a fait normal. Et à cet égard, François est un compagnon formidable. »

A son tour Patrick Poivre D’Arvor intervenant dans les colonnes de VSD de François, a émis des réserves sur la vie de son fil. L’ex-journaliste de TF1 a fait savoir que, dès son jeune âge, son fils a toujours souhaité se réfugier très loin du tapage médiatique parisien.

« François a toujours détesté l’hyper exposition de ses parents. Il est certain qu’à un moment, comme beaucoup d’adolescents, il a voulu couper le cordon et il l’a fait en partant très loin. D’abord en Nouvelle-Zélande, puis à Londres et désormais à Hong-Kong. », Soutient Patrick.

Il faut rappeler que la récente éviction sur-médiatisée de sa maman, en septembre dernier, n’a fait qu’encourager le jeune homme dans son choix.
L’ancien présentateur deTF1 explique que son fils François s’est retiré de la lumière, complètement.

« Il n’a jamais accepté d’être photographié (ou presque NDLR) ou de répondre à des interviews et je peux comprendre ça. La lumière à été trop crue sur sa mère et moi, et donc, indirectement sur lui. » PPDA s’est montré – toutefois – rassurant en concluant : « Je ne veux pas être son porte-parole mais il nous dit qu’il est bien dans ses baskets. »

Et c’est le plus important.


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