DiversSociété

Une femme traitée de sorcière, mise en cage pendant 3 ans par son époux

Une mère nigériane de huit enfants, identifiée comme Gladys, accusée de sorcellerie et qui aurait été enfermée chez elle à Orerokpe, dans l’État du Delta, a été secourue et emmenée à l’hôpital après avoir passé trois ans dans une cage.

Un militant des droits de l’homme, Harrison Gwamnishu, qui a partagé l’histoire, a déclaré à LIB que la femme était originaire d’Ozoro, dans l’État du Delta, mais qu’elle s’était mariée avec un homme d’Orerokpe.

Il a déclaré que le mari et les membres de sa famille, après de nombreuses années de mariage, ont accusé la dame d’être une sorcière et l’ont jetée dans une cage construite dans l’enceinte de leur maison.

Une femme traitée de sorcière, mise en cage pendant 3 ans par son époux

Selon Harrison, le mari, bien qu’il ait accusé sa femme d’être une sorcière, se frayait un chemin dans la cage où elle a été laissée à abandonnée à son sort. Selon nos sources, l’homme avait toujours des relations sexuelles avec elle.

Elle a eu trois enfants alors qu’elle était toujours gardée dans la cage. Harrison a déclaré à LIB que son organisation, Behind Bars Initiative, avait eu vent de l’état déplorable de la femme le lundi 16 novembre.

Lui et son équipe sont arrivés à Orerokpe le mardi matin 17 novembre et ont transféré la dame à l’hôpital général d’Orerokpe pour traitement.

Voir plus de photos de la femme ci-dessous:

Une femme traitée de sorcière, mise en cage pendant 3 ans par son époux
Une femme traitée de sorcière, mise en cage pendant 3 ans par son époux
Une femme traitée de sorcière, mise en cage pendant 3 ans par son époux
Une femme traitée de sorcière, mise en cage pendant 3 ans par son époux

Felicia Essan

Salut !! Je suis Felicia Essan. Retrouvez mes articles sur les actualités Showbiz, potins africains et d'ailleurs, les faits divers, confidences, les astuces beauté. Je suis une amoureuse de la lecture, de tout ce qui touche à la féminité. Je suis également grande passionnée de multimédia. feliciaessan@afrikmag.com

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page