Paris Saint-Germain / Accusé de viol, tout se complique pour Achraf Hakimi
Le défenseur du PSG, Achraf Hakimi vit des heures sombres après sa brillante coupe du monde avec le Maroc. Le joueur marocain, accusé par une femme de viol, voit son cas judiciaire s’aggraver ces dernières heures. Il vient d’être mis en examen par la justice française.
Achraf Hakimi va devoir se coltiner une affaire de justice durant cette saison et on ne sait pas quelle influence cette affaire pourrait avoir sur la suite de sa carrière. Pour le moment, le défenseur parisien n’a pas la cote. Accusé dans une affaire de viol, Hakimi vient d’être mis en examen par la justice française. Cette dernière a décidé d’enquêter sur les accusations graves faites contre Achraf Hakimi.
Une affaire rocambolesque dans la mesure où les premiers témoignages de la plaignante laissent perplexes. La jeune femme qui s’était d’abord rendue dimanche dans un commissariat du Val-de-Marne, sans porter plainte, tout en affirmant avoir été violée, a changé de tactique. D’après une source policière, contacté par les médias français dont RFI, elle a alors raconté avoir fait connaissance avec Achraf Hakimi en janvier sur le réseau social Instagram et s’être rendue samedi chez lui dans un VTC (voiture de transport avec chauffeur) commandé par le joueur.
On ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé entre les deux, cependant elle allègue qu’Achraf Hakimi l’a embrassée et commis des attouchements sans son consentement, avant de la violer, a ajouté la source policière. Ensuite, elle dit être parvenue à le repousser, avant qu’une amie, contactée par SMS, vienne la récupérer. Malgré les réfutations des avocats d’Hakimi, le parquet de Nanterre a pris la décision de le mettre en examen.
De son côté, l’accusatrice a été entendue mercredi par les enquêteurs, et son avocate réagit sur la situation de l’accusé Achraf Hakimi. » Ma cliente maintient toutes ses déclarations. Elle a fait le choix de s’exprimer exclusivement à la justice et ne souhaite pas médiatiser l’affaire, notamment pour préserver sa sécurité », a-t-elle poursuivi.
