Des preuves que l’envie s3xuelle n’existe plus dans votre couple
Etre en couple c’est pouvoir s’entendre merveilleusement bien avec l’autre sur au moins plusieurs plans. Vous devez avoir une bonne connexion spirituelle, une entente s3xuelle plus ou moins moyenne et un attachement assez fort en générale. Cette tendance peut varier d’un couple à l’autre, mais les couples les plus épanouies seront ceux qui atteindront au moins 50% de complicité.
1- Votre couple est un arrangement.
Vous êtes ensemble parce qu’on vous a obligé ou parce que vous voulez faire un enfant. Vous faites l’amour seulement durant les périodes de fertilité de votre compagne.
2- Vous pensez à autre chose quand vous passez à l’acte.
Mesdames, vous vous demandez quand monsieur terminera ce qu’il fait. Vous pensez plutôt à votre programme de demain. Vous le faites sans en avoir l’envie, sans aucun plaisir.
3- Vous êtes épuisés.
Pour vous, ce n’est pas un devoir conjugal, c’est plutôt un supplice ou une obligation. Dès que votre partenaire vous touche vous êtes énervées. Certains hommes obligent leur femmes à coucher avec eux.
4- Les enfants
Vous préférez dormir avec vos enfants. C’est le seul prétexte que vous avez trouvé pour ne pas faire plaisir à votre compagne ou votre compagnon. Ainsi dès que vous sentez les caresses de votre partenaire vous vous levez du lit et vous prétendez que vous voulez uriner ou que vous avez une migraine.
5- La négligence
Votre style a pris un coup, et vous ne faîtes plus d’effort, vos sous vêtements sont déchirés. Vous ne portez plus de nuisette sexy. En outre, vous ne voulez pas être désirées.
6- La chambre
Votre chambre n’est pas apprêtée. Votre télévision est tout le temps allumée et vous travaillez sur votre lit. Vous éteignez votre ordinateur que pour dormir. Avant de dormir, vous avez les yeux concentrés sur votre téléphone portable ou sur votre tablette. Votre mari ou votre femme n’existe pas. L’attirance a disparu. Vous êtes plutôt exaspérés de refaire les mêmes choses et de revoir le même lit ou le même décor.
