Une femme de 30 ans vivant dans la province du Manicaland, au Zimbabwe a déclaré avoir été abandonnée par son mari pour avoir refusé de vendre l’un de leurs triplés alors qu’elle était en Afrique du Sud l’année dernière.
Racontant son épreuve, Olinda Maposa a révélé que son mari n’était pas content après qu’elle aie donné naissance à des triplés.
Maposa a déclaré qu’après avoir rejeté la proposition de son mari Obey Mucheki, de vendre l’un des triplés car toutes des filles, il lui a donné cinq jours pour quitter leur maison, menaçant de la tuer ou de tuer ses bébés.
« J’ai donné naissance à mes trois enfants qui sont Rukudzo, Rujeko et Runako, mais mon mari, Obey Mucheki, a proposé de vendre une fille protestant que tous les enfants sont des filles. Lorsque j’ai rejeté la proposition, il m’a alors donné cinq jours pour quitter notre maison, menaçant de me tuer ou de tuer les bébés. « A expliqué la pauvre mère des triplés.
Elle a dû se débrouiller seule pour les triplés ainsi que pour leur enfant de 11 ans, Ruvimbo.
Maposa a cependant reçu l’aide de la ministre zimbabwéenne de l’information, de la publicité et des services de radiodiffusion, la sénatrice Monica Mutsvangwa, lorsqu’elle a assisté à la réunion inter-districts de la Ligue des femmes de la ZANU PF à Marange le samedi 15 mai dernier.
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Elle a dit:
« Après avoir fait face à de nombreux défis depuis que j’ai donné naissance à mes triplés, je suis heureuse d’avoir reçu l’aide de Mai Mutsvangwa. Je suis très heureuse car je faisais face à des difficultés pour m’occuper des trois filles. «
La sénatrice Mutsvangwa s’est engagée à aider à l’épicerie et aux provisions de base chaque mois.
La ministre a dit:
« Mai Maposa a accouché en Afrique du Sud. Nous allons l’aider. La femme est venue avec ses enfants d’Afrique du Sud après avoir été mal accueillie par son mari pour avoir donné naissance à des triplés.
En tant que ligue féminine, nous devons mettre en évidence ces cas de besoin. En tant que sénatrice local, je donnerai de la nourriture à la famille tous les mois. Nous chercherons des sponsors, nous approcherons même la Première Dame pour que les trois filles soient soutenues et puissent aller à l’école. »
