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Fréquemment qualifiée de prostituée de luxe, l’Ivoirienne Emma Lohoues répond avec sérénité !

Fréquemment critiquée d’être corps et âme investie dans la prostitution (bizzi), la belle Emma Lohoues a enfin levé le voile sur la question. A l’aide d’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, elle a répondu avec une sérénité sans pareille.

Si pour les internautes la taxer d’être une prostituée de luxe est un plaisir, il n’en est pas de même pour Emma Lohoues, « une femme si ambitieuse » selon ce qu’elle fait comprendre. C’est tout à fait étonnant voire abominable de lui coller à elle, cette étiquette peu valorisante. « Moi, gérer bizzi? », s’est étonnée l’Ivoirienne dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.

C’est presque dans un rôle de coach en développement personnel que Emma Lolo s’est crue. Parce que selon elle ses followers ont besoin de motivation, l’ex petite amie de feu Dj Arafat a préféré se prendre en exemple afin de prouver comment la fainéantise, la facilité ou encore les raccourcis pour la réussite peuvent anéantir une personne.

Fréquemment qualifiée de prostituée de luxe, l'Ivoirienne Emma Lohoues répond avec sérénité !

Mais s’il faut se prendre en exemple, il faut aussi parler des reproches publics dont on se rend sujet. C’est pour quoi l’actrice n’a pas esquivé certaines questions…fâcheuses.

 »Pour vous, c’est quoi réussir sa vie ? On commence tout petit pour devenir grand mais vous n’avez même pas envie de le faire. C’est vous qui voulez avoir des téléphones de dernière génération. J’en ai vu qui disent que nous (moi et toutes celles qui sont people aujourd’hui), nous nous vendons. Vous pensez qu’on a besoin de se vendre, de gérer des bizzi pour être là où nous sommes ? », a interrogé Emma.


En plus d’être l’une des personnalités les plus influentes du show biz ivoirien, Emma Lohoues est également connue comme une femme d’affaires. Mais attention, fait-elle remarquer, elle n’a pas eu besoin de vendre son charme à un homme pour être à cette place enviée par nombre de jeunes filles.

Mais supposons qu’elle soit réellement une géreuse de bizzi…  »Alors, partons sur le principe que vous pensez que c’est ce qu’on fait. D’accord ! on se vend ; il n’y a pas de problème. Mais quand tu finis de te vendre là, l’argent que tu as eu là, investis pour ne plus te vendre demain. Donc toi tu vas continuer de te vendre indéfiniment dans ta vie pour subvenir à tes besoins…et puis l’argent de se vendre là, on ne peut pas faire bonne chose avec. Vous ne connaissez pas la vie des gens ; vous ne connaissez pas le parcours des gens et vous racontez n’importe quoi. Au final, nous sommes des exemples pour vous par rapport à nos modes vie. Sachez que chacun de nous a un parcours, chacune de nous vient de loin… », a-t-elle conclu.

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