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Marseille: Payet ironise sur son poids « quand je marque, je maigris »

Beaucoup critiqué par rapport à son surpoids, Dimitri Payet a fait une sortie plutôt comique sur cette critique. 

Il ne passe pas une seconde sans que les internautes ou les supporter de l’OM ne critiquent pas le surpoids de l’international Français, Dimitri Payet. Dans un entretien avec un média de la place, le meneur de jeu de Marseille est revenu sur cette critique d’une manière drôle. 

« J’ai le même poids qu’il y a quelques semaines, mais entre-temps, j’ai marqué des buts (contre Nantes, 3-1, le 28 novembre, et l’Olympiakos, 2-1, le 1er décembre). Quand je marque, je maigris en fait (ironique). Il faut toujours trouver une raison quand je suis moins décisif. Mais moi, je sais qu’il n’y a pas de soucis à ce niveau-là. C’est sûr que j’avais moins de jus. Mais c’était aussi dans la tête. C’est comme ça que ça marche, il faut que je marque des buts et que je sois décisif. Et ça va revenir « , promet ainsi Payet.

Payet poursuit. « Vous mettez mon salaire de base tous les ans dans la presse (plus de 500 000 € brut mensuels). Vous divisez par deux la première année (celle en cours) et vous enlevez 30 % la seconde (la saison prochaine). J’avais une demande en contrepartie, c’est que je puisse continuer après ma carrière à avoir un rôle et une influence importante dans le club (dans l’optique un jour de devenir directeur sportif). »

Payet ne prend pas les choses au dernier degré. « Des regrets ? Pas du tout. J’aimerais même continuer. Ça fait partie du jeu, il ne faut pas le prendre au premier degré. Mais je me suis rendu compte d’une chose : ce n’est pas le PSG qui m’a répondu, même si Presnel (Kimpembe) l’a fait de bonne guerre en conférence de presse. Non, ma surprise, c’est qu’il y ait autant de supporters de Paris dans les médias. Après, quand on est chambreur comme moi, si tu es susceptible, t’es mal. Parfois, ça va un peu loin. Mais c’est parce que c’est l’OM, c’est moi. Je l’accepte. Je sais encaisser ». 


Concernant son avenir. « J’en avais marre aussi, à chaque fin de saison, d’avoir des discussions avec la famille. Est-ce que je vais en Chine, en Arabie Saoudite, au Qatar ? J’aurais pu y gagner plus d’argent, mais ma femme avait déjà eu du mal à s’acclimater à l’Angleterre (à West Ham, club de Londres). Mes enfants grandissent et ils ont besoin de se fixer quelque part. Je voulais aussi une petite Marseillaise (sa fille est née le 20 novembre). On est bien ici. »

Akon

Hello ! Je suis Boa Jules Akon, journaliste sportif et culturel, lisez mes articles sur Afrikmag, merci.

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