People/ Entendu par la police sur son pistolet, Molare parle enfin
Entendu par la police sur une éventuelle détention illégale et illégitime d’arme à feu, l’artiste Molare a posté une vidéo tard dans la nuit pour rassurer ses fans et donner des précisions sur l’affaire.
Molare rassure qu’il est bel et bien libre de ses mouvements. Dans une courte vidéo sur sa page, l’homme des Primud a tenu à revenir sur l’affaire le concernant. Se filmant assis dans ses bureaux, il rassure d’abord sur le fait qu’il n’a pas été arrêté à la suite de son audition sur l’arme qu’il portait lors de sa parade lagunaire avec ses amis en route pour la station balnéaire d’Assinie.
Selon les explications de Molare, la Côte d’Ivoire est un Etat de droit et il est donc normal que la police ait cherché à savoir pourquoi il portait une arme publiquement. Il trouve qu’il n’y a rien à redire sur la procédure intentée à son encontre. Cependant, Molare se veut clair: il ne portait pas une arme à feu. D’après lui, il aime frimer. L’arme qui était en sa possession n’est pas une arme létale. C’est ce qu’il dit avoir expliqué à la police.
« Je suis à mon bureau, tout va très bien. Il y a une procédure normale qui a été suivie. J’ai vu que la police de mon pays est professionnelle. Ils ont posé des questions, comment se fait-il que j’ai une arme. Ils sont constaté que ce n’est pas une arme létale et que c’est ce qu’on utilise pour les paintball etc… C’est une question qui a eu lieu dans la journée. J’ai continué mes activités », assure Molare dans sa vidéo de près de quatre minutes.
Molare insiste sur le fait qu’en tant que citoyen, il devait répondre à la convocation car il ne faudrait pas penser qu’il y a des citoyens qui sont au-dessus de la loi. Pour autant, il lance un appel à ses amis avec lesquels, il s’adonne au paintball. Il leur demande de faire attention, après ce qui vient de lui arriver. Molare est donc libre comme un poisson dans de l’eau.