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Un homme de 55 ans viole un chat à mort: ce qui a été découvert chez lui

En France, un homme sera confronté à ses juges dans ce qui apparait comme une affaire de zoophilie d’un autre genre. L’homme enfermait des chats pour avoir des rapports sexu@ls avec ces animaux de compagnie

Un homme de 55 ans sera jugé au mois de septembre prochain pour le viol de l’un de ses chats par le tribunal correctionnel de Lille en France, informe la presse française, se basant sur une déclaration l’association Stéphane Lamart « Pour la défense des droits des animaux ». Dans le communiqué de cette association, on apprend une histoire totalement abominable. L’homme en question commettait une pratique orgasmique sur ses chats au point que l’une des bêtes en a perdu la vie.

Comme pris par le remord, c’est l’homme en question qui alerte les services sanitaires de l’état de santé dégradant de l’un de ses chats le 9 août 2022. Dans son communiqué, l’association fait état de sévices importants et indique, entre autres, « que les entrailles de l’animal étaient sorties d’une dizaine de centimètres ». Le bilan dressé est glaçant.  Les médecins vétérinaires  notent des « lésions sévères […] compatibles avec des sévices sexuels de type pénétration vaginale ». C’est ce qui va mettre la puce à l’oreille des enquêteurs.

Ainsi, le 17 août 2022, un plan est rondement ficelé pour comprendre ce qu’il s’est réellement passé avec l’animal. La justice ordonne donc une intervention au domicile du propriétaire du chat. Et là, c’est la stupeur générale. « Ce qu’ils ont découvert était pire que ce qu’ils avaient pu imaginer. L’odeur d’urine de chat état partout et insoutenable. Une chatte était agonisante dans la maison, qui est décédée quelques heures plus tard chez un vétérinaire », explique l’association de défense des animaux Stéphane Lamart.


Les gendarmes commis à la perquisition chez le violeur de chats vont faire une autre découverte. L’homme, un véritable maniaque, élevait de nombreux autres chats. 26 autres chats ont été découverts au fond du jardin du mis en cause, « tristement entassés […] dans un petit cabanon jonché d’excréments et d’urine », selon l’association Stéphane Lamart. Ils attendaient leur tour. Le procès de cet homme de 55 ans en dira long…

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