Cameroun

Cameroun : les quadruplés d’une femme trouvent la mort à l’hôpital central de Yaoundé

D’après le site Koaci.com, une fois de plus la mort des bébés a frappé dans l’un des hôpitaux de référence au Cameroun. Cette mort de trop nous pousse à nous demander si les hôpitaux du Cameroun sont-ils devenus des lieux où les nouveau-nés trouvent la mort ?

Après le drame de laquintinie, un autre drame relatif à la mort des quadruplé vient de se produire dans un hôpital public du Cameroun. Il s’agit de l’hôpital central de Yaoundé dans la capitale politique.
Une femme aurait été contrainte d’accoucher à 6 mois pourtant elle n’était pas venu pour le faire. Les infirmiers lui ont imposé cela. Les 4 bébés seraient nés vivants mais faute d’éprouvettes, ces petits innocents seraient tous décédés sous le regard impassible des médecins de l’hôpital central.

Alors que le peuple Camerounais ne s’est même pas encore remis du drame qui est survenu à l’hôpital laquintinie de douala avec l’affaire Monique Koumatéké qui avait succombé avec ses jumeaux, qu’on assiste une fois encore à la mort de quatre bébés d’une maman à l’hôpital de central de Yaoundé.


« Il n’était pas encore temps pour ma femme pour donner naissance à nos quatre bébés, elle était encore à 6 mois quand ma femme pour suivre ses consultations habituelles. Les docteurs lui demandent de venir à la salle de travail. Ma femme leur répond qu’elle n’est pas là pour accoucher mais si vous insistez mon problème n’est pas encore de chercher des incubateurs pour mes bébés parce que ce n’est pas le moment d’accoucher. Les médecins ont insisté en lui disant qu’il n’y a aucun problème qu’il lui fallait seulement faire un peu d’effort. Miraculeusement, les 4 enfants sont nés. Mais au lieu de prendre soin d’eux, ils ont été placés dans une salle sans éprouvettes alors que les enfants étaient fragiles. Ils vont contacter la Fondation Chantal Biya qui refuse de leur donner des éprouvettes en leur disant qu’on ne leur apprend pas leur travail. Les enfants seront mis dans un plastic et vont mourir quelques minutes plus tard ». déclare le père de famille Nkimi Albert.

Oscar Mbena

Bonjour, je suis Oscar MBENA. Je vous invite à lire mes articles sur l'actualité politique, les faits de société, le sport, la santé et la culture.   oscarborel@afrikmag.com

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