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Un créateur de contenu se fait enterrer vivant pendant 23 heures

Un créateur de contenu se fait enterrer vivant pendant 23 heures

Dans le monde en constante évolution des médias sociaux, les créateurs de contenu rivalisent pour attirer l’attention et gagner la renommée. Récemment, un jeune nigérian du nom de Young C a captivé l’internet avec ce qui peut sans doute être considéré comme l’une des plus grandes farces jamais réalisées.

Le récit de cette aventure déconcertante commence lorsque Young C décide de se faire enterrer vivant pendant 23 heures. Oui, vous avez bien lu. Le jeune homme a volontairement passé près d’une journée dans un cercueil, équipé de fournitures essentielles telles qu’un oreiller, un éventail, des draps, une caméra externe et deux ampoules. Pour partager cette expérience unique avec le monde, Young C a diffusé en direct toute son aventure sur sa chaîne YouTube, permettant à ses spectateurs de suivre chaque moment captivant.

Cependant, malgré l’attention et la fascination que cette farce a suscitées, elle n’a pas été sans controverse. Instagram, la plateforme où Young C avait initialement partagé des détails sur son projet audacieux, a rapidement pris des mesures pour supprimer la vidéo et désactiver son compte, invoquant une violation de sa politique.

Instagram n’a pas été impressionné par son comportement et a choisi de supprimer la vidéo et de désactiver son compte en raison d’une violation de la politique de la plateforme.

Le jeune homme a partagé son expérience avec ses fans en disant : «Je vais toujours bien, je vais bien. Beaucoup d’entre vous pourraient penser que quelque chose s’est passé, mais rien ne s’est passé, je vais bien. Mon problème c’est juste que je n’ai plus d’eau, je pourrais être obligé de boire ça (mon urine). Les gars, je vais bien ».

Felicia Essan

Salut !! Je suis Felicia Essan. Retrouvez mes articles sur les actualités Showbiz, potins africains et d'ailleurs, les faits divers, confidences, les astuces beauté. Je suis une amoureuse de la lecture, de tout ce qui touche à la féminité. Je suis également grande passionnée de multimédia. feliciaessan@afrikmag.com

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