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Koffi Olomidé sort de sa réserve : « moi, je sais que je n’ai pas frappé, pas violé… »

Après avoir fait un article qui relatait les supposés déboires d’une des danseuses de Koffi restée en France après une tournée dans les années 2002, le journal « lemonde » consacre une interview à l’artiste congolais pour un droit de réponse. Koffi revient sur les déclarations de sa danseuse, sur son coup de pied à Nairobi et les multiples poursuites judiciaires en Afrique et ailleurs.

Tout au long de l’échange, c’est un Koffi assez lucide qui explique les choses avec une certaine logique. Pour lui, cette danseuse n’a raconté ces fausses histoires que pour obtenir les papiers en Franc,e où elle est restée illégalement depuis des années. Il avoue qu’il n’a jamais violé l’une d’elles, jamais séquestré, encore moins frappé qui que ce soit.

Pour le coup de Nairobi, il affirme que son pied n’a jamais touché la danseuse sinon les policiers sur place l’auraient interpellé. Il voulait se défendre parce qu’il a appris qu’elles avaient volé des effets dans l’avion et ne voulait pas que cette sale histoire puisse être relayée par la presse.

Il dit avoir déjà demandé les excuses publiques, reconnaissant qu’il n’est pas un surhomme et qu’il peut faillir comme tous les autres. Il sait qu’il est et demeure une icône au Congo et ailleurs, et avec son grand cœur, il a quand même gardé cette danseuse dans sa troupe. Et pour montrer à quel point il respecte la femme, il prépare un concert géant à Kinshasa où elles seront conviées gratuitement.

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