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Sénégal : Wade dit pourquoi il a traité Macky Sall de descendant d’esclave

On se souvient il y a quelques jours, l’ancien président de la république  du Sénégal  Abdoulaye Wade avait suscité une profonde douleur dans les cœurs non seulement des Sénégalais, mais aussi de la majorité des africains lorsqu’il avait traité le président actuel de la République Sénégalaise Macky Sall de descendant d’esclave.

D’après notre source, Me Abdoulaye Wade n’avait pas l’intention d’en arriver là. Mais il a été attaqué à plusieurs reprises par l’entourage immédiat de Macky Sall et ce dernier a laissé faire.

L’ancien président Sénégalais Abdoulaye Wade avait été traité de tous les noms d’oiseaux par une société civile politicienne qui avait gagné la sympathie de Macky Sall, sans pour autant que le chef de l’Etat s’oppose à ces humiliations.

Dès le début de l’installation du premier gouvernement du président Macky Sall, Abdoulaye Wade avait été accusé de vol de 600 voitures, de tableaux décoratifs, de tapis, de serpillières etc.

Par la suite Wade et son Fils Karim avaient été accusés de détournement de 400 milliards et lors de chaque déplacement, Abdoulaye Wade mettait 6 milliards dans la soute de son avion.

C’est aussi à cause de ces accusations fallacieuses que Karim Wade est mis en prison par la cour de répression pour enrichissement illicite. Il avait été accusé d’enrichissement illicite et non de vol ou de détournement. Au départ, le régime de Macky Sall avait parlé de 700 milliards, ensuite de 117 milliards dont 47 milliards de Singapour inventés de toute pièce et dont 69 milliards appartenant à Bibo Bourgi.

Ce sont toutes ces humiliations, ainsi que ces attaques envers Abdoulaye Wade et à sa famille qui l’ont amenés à répondre aux interminables provocations. Mais pour répondre Wade devait-il traité Macky Sall de descendant d’esclave ?

 

 

 

 

 

 

Oscar Mbena

Bonjour, je suis Oscar MBENA. Je vous invite à lire mes articles sur l'actualité politique, les faits de société, le sport, la santé et la culture.   oscarborel@afrikmag.com

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