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Beyoncé se lance dans une guerre juridique contre une organisatrice de mariage

Le couple Carter est en guerre juridique avec Wendy Morales, une organisatrice de mariage qui s’est opposée à eux concernant l’attribution du nom de son entreprise à leur fille.

 Le couple de stars a, selon le média américain The Blast, accumulé assez d’arguments afin de faire plier madame Morales. En effet, la société de cette dernière, créée en 2009, s’appelle Blue Ivy, soit le même nom que la fille du couple qui tente, par tous les moyens, d’obtenir le plus de droits possibles pour le nom de leur fille.

Selon Beyoncé, sa fille est aujourd’hui, une icône de la pop-culture, celle-ci ayant atteint un niveau de renommée assez élevé pour prétendre à devenir « une marque ». Alors que ses parents ont tenté de déposer son nom dès sa naissance, en 2012, ils se sont heurtés au refus de la justice. Une société d’organisation de mariage qui est elle aussi baptisée Blue Ivy et ce, depuis 2009.

« Morales pense que Beyoncé ne devrait pas être autorisée à labelliser le nom de sa fille Blue Ivy Carter parce qu’elle a une société d’évènementiel du même nom », a été déclaré dans les documents.


“Morales pense que Beyoncé ne devrait pas être autorisée à labelliser le nom de sa fille Blue Ivy Carter parce qu’elle a une société d’événementiel du même nom”, est-il notamment affirmé dans les documents relayés par The Blast. Toutefois, Beyoncé ne souhaite pas abandonner et utilise de tous les moyens pour discréditer son adversaire. Selon elle, la société n’est pas très grande, étant composée de “trois bureaux régionaux et de quelques employés“. En comparant cela à la renommée de sa fille, qui va probablement devenir une véritable égérie dans les années à venir, Morales ne ferait donc pas le poids.

En outre, toujours selon les arguments de Beyoncé, les clients de Blue Ivy pourraient être perdus et dupés par la ressemblance des noms de la société et de la jeune fille, “enfant de deux des plus célèbres interprètes au monde“. Des arguments que Wendy Morales a décidé de balayer d’un revers de la main, affirmant que ces derniers étaient totalement inutiles.

SANDRA KOHET

Je suis Sandra KOHET, Web Rédactrice à AfrikMag. Passionnée de Lecture, Cuisine et voyage. sandrakohet@afrikmag.com

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