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France: Elle brûle vive la fillette de sa voisine

Une femme, âgée de 37 ans, fait actuellement la Une de la presse française. Mardi dernier, piquée par on ne sait quelle mouche, cette dame a brûlé vive la fillette de sa voisine. Le pronostic vital de la victime est très engagé,  selon le parquet de Senlis. Les motivations d’un tel acte restent toujours obscures.

Le drame s’est produit à Auneuil, dans l’Oise. La fillette de 3 ans jouait dans la cours de son immeuble d’Auneuil, dans l’Oise, avec sa sœur de six ans, lorsqu’elle a été brûlée vive par sa voisine. La dame de 37 ans a aspergé l’enfant de liquide inflammable, provoquant de très graves blessures. Selon nos confrères de ‘Le Parisien’, la petite Alicia, conduite en urgence à l’hôpital est entre la vie et la mort. Elle a été placée dans un coma artificiel. Elle a été brûlée au troisième degré sur plus de 90% du corps. Quant à sa mère, elle a aussi a été brûlée en prenant la jeune victime dans ses bras. Elle a été opérée à Beauvais.

France: Elle  brûle vive la fillette de sa voisine

Si elle s’en sort, elle gardera de très lourdes séquelles toute sa vie.

Arrêtée, la coupable de cet acte horrible a été mis en examen pour tentative de meurtre sur mineure de moins de 15 ans.Elle est écrouée, selon le parquet de Senlis.


En effet, les faits racontés par Gwendolina, témoin de la scène, sont horribles. Le Courrier Picard rapporte son témoignage dans ses colonnes. Selon le journal, Gwendolina a expliqué « qu’elle était en train de préparer le goûter à ses enfants quand elle a entendu des cris venant de la cour extérieure ». Sortie, elle a vu la petite fille en feu, entourée de sa mère et sa grande sœur.  “Elles criaient. J’ai fait rentrer la grande chez moi pour qu’elle ne voit pas ça et j’ai essayé de découper les vêtements de la petite. À ce moment, je ne savais pas du tout ce qu’il s’était passé.

Alicia, la sœur de la victime de son côté raconte aux sapeurs arrivés sur le lieu,  « que la voisine avait “mis le feu sur la tête de sa sœur”. Pour les gendarmes présents qui n’en revenaient pas, la fille racontait une blague. “Les gendarmes lui ont redemandé plusieurs fois. Elle a confirmé”, confie  Gwendolina.

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