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Il utilise du piment pour « pimenter » sa vie s3xuelle avec son épouse

Il utilise du piment pour « pimenter » sa vie s3xuelle avec son épouse

Une femme de Harare, au Zimbabwe, a révélé des détails choquants sur le comportement abusif de son mari, l’accusant d’utiliser du piment lors de leurs rapports s€xuels, ce qui lui a causé de graves complications de santé.

Les révélations ont été faites lors d’une audience au tribunal civil de Harare, où Joyce Garikayi a demandé une ordonnance de protection contre son mari, Jack Mukandwe. Joyce a allégué que la pratique non conventionnelle de Jack, consistant à incorporer du piment dans leurs moments intimes, lui avait causé un inconfort intense et des démangeaisons persistantes.

« Mes parties intimes me font mal et me démangent constamment à cause du piment que mon mari utilise sous prétexte de vouloir « pimenter » nos rapports s€xuels. Chaque fois que ie refuse, il m’insulte en prétendant que ce sont les ouvriers de mon père qui couchent avec moi », a-t-elle déclaré au tribunal.

Étonnamment, Jack n’a pas nié les allégations. Au contraire, il a admis avoir expérimenté cette pratique après en avoir entendu parler par des amis qui prétendaient utiliser des méthodes similaires dans leurs relations.

Joyce a également accusé Jack de vi0lences physiques et émotionnelles, affirmant qu’il l’avait fréquemment agressée avec un câble électrique et insultée devant leurs enfants. Elle a aussi révélé que le comportement erratique de Jack l’amenait à retirer l’amiante de leur toit chaque fois qu’il se sentait provoqué. Craignant pour sa sécurité, Joyce est retournée vivre chez ses parents mais a affirmé que Jack continuait à la traquer et à la harceler.

En réponse aux accusations, Jack s’est excusé pour ses actes violents, reconnaissant son caractère irascible. Il a exprimé son désir de se réconcilier et de travailler sur leur mariage, mais Joyce est restée prudente, donnant la priorité à sa sécurité et à son bien-être.

En réponse aux accusations, Jack s’est excusé pour ses actes vi0lents, reconnaissant son caractère irascible. Il a exprimé son désir de se réconcilier et de travailler sur leur mariage, mais Joyce est restée prudente, donnant la priorité à sa sécurité et à son bien-être.

La magistrate Meenal Naratom a accordé à Joyce une ordonnance de protection, reconnaissant les violences émotionnelles et physiques qu’elle avait subies. La décision du tribunal a souligné la nécessité de la protéger de tout préjudice supplémentaire.

Les principales corrections concernent la clarté des phrases, la fluidité et quelques maladresses grammaticales.

Felicia Essan

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