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Santé : 16 ans après leur naissance, ces siamoises défient les pronostics de la médecine-Photos

16 ans après leur naissance, ces siamoises ont fait échouer les pronostics de la médecine. L’histoire remonte en 2002. Zeinab et sa sœur Jannat avaient subi une opération chirurgicale parce qu’elles étaient nées siamoises.

A leur naissance, elles partageaient le même foie et six semaines après elles se sont faites opérées. Cette opération d’alors fut un succès parce qu’elles ont réussi à trouver chacune leur propre personnalité.

Les médecins à l’époque étaient très perplexes quant à la survie des ses sœurs jumelles. Pour eux, il était impossible que les fillettes vivent très longtemps. Et même si ça devrait être le cas, l’une des deux allait finir par mourir parce qu’elle présentait une malformation cardiaque.

Santé : 16 ans après leur naissance, ces siamoises défient les pronostics de la médecine-Photos

Après qu’une équipe médicale de vingt personnes a séparé les fillettes au bout de quatre heures et demie d’opération, Jannat a immédiatement dû subir d’autres interventions chirurgicales

« Nous étions horrifiés à l’idée d’avorter », explique le père Luther Rahman au Daily Mail. « Elles étaient nos filles, peu importe comment elles sont venues au monde », confie-t-il.

Aujourd’hui ce cauchemar est loin derrière car les filles se portent à merveille et ont un avenir prometteur.

Santé : 16 ans après leur naissance, ces siamoises défient les pronostics de la médecine-Photos

Zainab aimerait étudier la pédiatrie à l’université de Cambridge et Jannat envisage quant à elle de s’inscrire à l’université d’Oxford pour devenir avocate.

Santé : 16 ans après leur naissance, ces siamoises défient les pronostics de la médecine-Photos

Actuellement, elles étudient dans la même école et ont les mêmes amis. La mère de ces ‘’miraculeuses’’ n’en revient toujours pas.

« Ce que nous avons vécu ressemble aujourd’hui à un lointain cauchemar. Je n’ai jamais osé rêver de ce jour. Elles ont été épargnées jusqu’à maintenant, contre toute attente », se réjouit-elle.

Emeraude ASSAH

crédit photo : 7sur7

 

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